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De la boxe, du karaté, du kickboxing, du jiu jitsu brésilien et de la lutte

On est là pour vous soutenir dans l’entraînement, de l’amateur aux professionnels.

Nos arts, la discipline

La boxe, descendante directe du pugilat, est un sport de combat qui se pratique à un contre un, basé sur des frappes que s’échangent deux adversaires à l’aide de poings gantés. On fait souvent référence à la boxe en utlisant le terme « art noble ». La boxe nécessite le port de gants rembourrés pour notamment, limiter le risque de coupures, tout comme pour protéger les mains et doigts de celui qui porte le coup. Le but de la boxe est de toucher son adversaire avec l’aide de ses poings, tout en tentant d’esquiver au maximum les frappes de son rival. étant un sport jugé, la boxe exige une comptabilisation minutieuse des points qui sont octroyés par les juges en vertu de leur précision, de leur puissance et de leur netteté.

Pour remporter une joute de boxe, il existe plusieurs moyens soit par mise hors de combat (KO), par KO technique (arrêt de l’arbitre) ou par décision (comptabilisation des points obtenus par les deux adversaires).

La boxe nécessite un équipement de base consistant en un protecteur buccal, une coquille, des gants rembourrés d’un poids précis conforme à la réglementation en vigueur, des chaussures réglementaires ainsi qu’un casque protecteur (dans sa version amateur ou Olympique). Les mains peuvent être bandées à l’aide de bandage chirurgicaux à l’intérieur des gants en vertu du réglement afin notamment, de réduire le risque de blessures aux métacarpes ainsi que d’absorber l’excès de transpiration, réduisant ainsi le risque de gerçures. Les joutes de boxe ont lieu dans un ring traditionnel d’une grandeur standard respectant la réglementation. La réglementation en regard à l’équipement, au ring etc. peut différer selon s’il s’agit d’un combat amateur ou professionnel, et selon la commission athlétique qui sanctionne l’événement où a lieu la joute en question (dans le cas de combats professionnels).

Des catégories de poids sont imposées afin de rendre les combats équitables et sécuritaires. Il existe 15 catégories de poids différentes (pour plus de détails, voir la documentations facilement accessible un peu partout sur le Net).

Au niveau technique sont employés plusieurs types de coups dont les directs, les directs courts, les crochets, les uppercuts, les overhands, et les cross counters. Plusieurs techniques de défense peuvent aussi être employées…

La boxe ne convient pas qu’aux athlètes d’élite désirant faire carrière. L’entraînement entourant la boxe a fait ses preuves et est de plus en plus populaire auprès des amateurs qui désirent simplement conserver la forme et un poids santé. Du « shadow boxing » à l’entraînement avec sacs, en passant par l’entraînement cardio-casculaire et les joutes amicales (sparring), l’entraînement de boxe peut convenir aux petits et grands et s’adapte selon les circonstances.

Pour en savoir plus sur le merveilleux monde de la boxe, nous vous recommandons de contacter le Collège Team Bergeron qui saura répondre à toutes vos questions!

problème

solution

Le jiu jitsu est un art martial brésilien dérivé du judo et et du ju jutsu japonais. Bien que le sport fut importé au Brésil par le japonais Maeda, on réfère souvent au jiu jitsu en utilisant l’appellation « Gracie Jiu Jitsu » afin de rendre hommage au père du jiu jitsu, Gastão Gracie qui l’a enseigné à son fil, Carlos qui lui l’a développé et popularisé dans sa forme actuelle la plus populaire.

 

Le jiu jitsu, ou BJJ (Brazilian Jiu Jitsu) est une forme de lutte au sol se pratiquant avec le keikogi (souvent appelé par son diminutif « GI »), qui est en réalité, un uniforme s’apparentant au kimono traditionnel. Il existe aussi une forme de BJJ qui se pratique sans keikogi nommée par le simple terme « No-GI ». Cette dernière demande le port de shorts et d’un rashguard (un gaminet très ajusté).

 

Un combat de jiu jitsu peut se terminer au point, ou par une technique de finalisation : étranglement ou luxation d’une articulation, les torsions étant interdites.

 

durant la pratique de jiu-jitsu brésilien le combat peut être terminer par une clé articulaire ou par étranglement ou par point en compétition

 

Le BJJ est un sport que plusieurs qualifient comme un jeu d’échecs physique au sol. Le gabarit des concurrents et leur force physique influe beaucoup moins qu’en combat debout puisque le BJJ favorise le travail à contrepoids où on utilise souvent la force de l’adversaire à notre avantage. Un vaste arsenal de technique, tant de mises au sol que de soumissions ainsi que de nombreuses techniques pour éviter et contrer les frappes de votre adversaire sont mis à la portée des participants, ce qui fait du jiu jitsu un sport incroyablement complexe et demandant plusieurs années de pratique pour le maîtriser parfaitement .

 

ce qui fait du jiu-jitsu brésilien un sport incroyable et très technique où tous peuvent y trouver une stratégie à leur goût où selon leur préférence.  mais comme tout art martial,  celui-ci demande du temps à maîtriser selon votre adversaire. 

-un adversaire avec aucune connaissance en lutte 2 a 4 ans

-une ceinture avancer ou noir en lutte ou en  jiu-jitsu brésilien 10 a 15 ans

 

Un système de gradation basé sur l’attribution de ceintures existe (blanc, bleu, violet, brun et noir), mais est souvent contesté puisqu’en réalité, seuls des experts certifiés doivent pouvoir les attribuer, ce qui est rarement le cas et les considérations monétaires sont bien souvent 

malheureusement, à l’avant-plan.

 

Chaque école a son système de gradation et doit être certifiée par son organisme. Les cursus pour les passages de ceinture peuvent changer selon votre école. 

Néanmoins, même sans processus de gradation, il est possible de pratiquer le jiu jitsu brésilien et de parfaire son apprentissage, que ce soit par pur plaisir ou pour la compétition (le système de gradation n’incluant pas au niveau compétitif puisqu’on considère l’expérience en terme d’années de pratique).

 

pour le plaisir. pour vous inscrire en compétition, vous devrez, avant de vous inscrire, aller chercher l’information sur le site officiel de la compétition car ils ont tous leur règlement indépendant(poid-grandeur-ceinture-année entraînement-GI-NoGI)

 

Un système de pointage a été conçu afin de pouvoir déterminer le vainqueur à l’issue d’un combat. Le passage de garde compte généralement pour 3 points, les projections 2 points, les renversements 2 points, le passage en position montée 4 points, le genou sur l’estomac 2 points et la prise du dos 4 points.

 

A chaque compétition on leur règle un système de pointage qui peut-être varié ainsi qu’une liste de technique permis et illégale.

 

Plusieurs positions sont possibles. On parle de la garde lorsqu’un concurrent est couché sur son dos et que son adversaire réussit à ouvrir ses jambes pour s’y faufiler

et il a entouré la taille de son adversaire par ces jambes.

. La demi-garde, pour sa part, réfère à la position où un concurrent ne réussit qu’à passer une seule jambe de son adversaire, se trouvant à cheval par-dessus cette dernière. La position de côté (dite side-control) consiste en le contrôle de son adversaire au sol en position de côté, en étant perpendiculaire à ce dernier. La position montée, elle consiste à se retrouver à cheval par dessus son adversaire qui lui, est couché sur son dos au sol.

 

Parmis les techniques de soumissions autorisées, on compte les clés de bras, de genou, de poignet, clé de jambes, de genou, de cheville ou de pied, les kimuras ainsi que de nombreux types d’étranglements (arrière, triangulaire etc.). En compétition, afin d’éviter les blessures, un combattant en difficulté pris en soumission peut « taper » afin de signifier son abandon, déclarant ainsi son adversaire automatiquement vainqueur. Cette technique est aussi utilisée à l’entraînement pour la même raison.

 

Infiniment trop complexe pour être résumé dans un simple texte

effacer la phrase inutile , le jiu jitsu brésilien est un sport encore trop souvent méconnu, mais qui gagne à être essayé. De nombreux adeptes de sports de combat qui désirent s’entraîner, tout en limitant les risques de blessures et de contact trop violents se tournent vers la pratique du jiu jitsu où aucun coup n’est porté. L’essayer, c’est l’adopter!

Le karaté est une discipline martiale dont les techniques visent à se défendre uke , puis à répondre par une attaque (atemi) au moyen des différentes parties du corps : doigts (nukite), mains ouvertes (shuto) et fermées (tsuki), avant-bras (ude), pieds (geri), coudes (enpi), genoux [ex. : hiza geri]). Les 20 préceptes du karaté voudraient qu’il n’existe pas d’attaque pure et dure de la part d’un karatéka.

Ainsi distingue-t-on chez le combattant nippon deux types de répliques à l’attaque: le go no sen, qui consiste en une contre-attaque une fois que l’adversaire a déjà porté ou tenté de porter son coup; et le sen no sen, généralement qualifié « d’attaque dans l’attaque », qui consiste quant à lui à porter la contre-attaque avant même que l’adversaire ait eu le temps d’exercer sa technique.

Un sen no sen parfaitement maîtrisé pourrait laisser penser, d’un point de vue extérieur, à une anticipation, ou à une inversion des rôles attaquant / défenseur, du fait que le spectateur ne perçoit pas nécessairement les signes de déclenchement d’une attaque. Pour autant, la finesse d’exécution du sen no sen ne saurait remettre en cause la notion de riposte: le karatéka travaille toujours ses attaques sur un mode défensif.

www.karate-drummondville.com

Le kickboxing consiste essentiellement en un sport regroupant diverses discipline pieds-poings. Le kickboxing se pratique dans un ring traditionnel. Le but consiste en des échanges de coups de pied et de coups de poing entre deux protagonistes qui tentent mutuellement de se toucher tout en esquivant les coups de leur adversaire.
Dans sa version amateur, les athlètes doivent porter obligatoirement un protecteur buccal, une coquille, un casque protecteur conforme rembourré pour protéger les zones temporales, les arcades sourcillières, les oreilles et l’arrière de la tête, des jambières, des protecteurs de pieds, des protecteurs d’avant-bras et des gants rembourrés d’un poids précis sous lesquels le participant peut employer des bandages chirurgicaux pour protéger ses jointures et prévenir les gerçures. La quantité de gaze maximale qui peut être employée est réglementée. Les femmes doivent aussi porter un protecteur de poitrine et un protecteur de l’aine et de l’os publien. Le port des shorts semblables à celles de la boxe ou pantalon de kickboxing est obligatoires en tout temps.
Au niveau de la compétition, les participants sont classés en fonction de leur âge, de leur classe d’expérience et de leur poids en vertu des catégories en vigueur dans la réglementation. Au Québec, les joutes amicales sont permises chez les enfants dès l’âge de 12 ans. Jamais plus de deux ans d’écart ne doit d’ailleurs séparer deux adversaires.
Lors d’une joute de kickboxing, un pointage est comptabilisé par des juges qui comptent les coups portés selon leur puissance, netteté et précision. Un combat peut être remporté de trois façons : par KO, KO technique (TKO) ou en vertu de la décision des juges (aux points).
Il existe plusieurs types de fautes dont : porter des coups en bas de la ceinture (sauf dans les combats de types « low kicks »), donner des coups de genou, donner des coups de tête, d’épaule, frapper avec les avants-bras, les coups de coude, tenir la tête de l’adversaire ou s’aggriper à son adversaire, l’étrangler etc. Il est aussi interdit de frapper avec les gants ouverts, avec l’intérieur du gant, le poignet ou le côté de la main. Les coups au dos ne sont pas admis, tout comme ceux portés à la nuque, au derrière de la tête et aux reins. En tout temps, un concurrent n’a le droit de se retenir aux cordes du ring, ni de s’en servir pour attaquer ou contre-attaquer. De plus, lorsqu’un combattant tombe par terre, l’adversaire doit attendre que ce dernier se relève puisque les coups au sol ne sont pas permis. De plus, en vertu de la réglementation sévèrement appliquée, aucun écart de conduite n’est toléré et le respect de l’arbitre et de son adversaire est de mise en tout temps.
En kickboxing, lorsqu’un concurrent tombe au plancher ou se retrouve en difficulté debout, l’arbitre lui impose un compte de huit et juge si ce dernier est apte ou non à poursuivre le combat. Par mesure préventive, lorsqu’un participant subit trois comptes de huit ou tombe trois fois au plancher dans le même round, le combat est automatiquement arrêté et la victoire est attribuée à l’adversaire. Chez lez expérimentés, le nombre de chute au plancher ou de compte de huit total au combat est de quatre, et chez les juniors, il est de trois.
Afin de s’assurer que les joutes de kickboxing restent du kickboxing, un nombre minimum de coups de pied doit être porté et ce, pour chacun des concurrents. Chaque participant doit donc donner un minimum de cinq coups de pied légaux par round. Advenant le fait qu’un concurent n’ait été en mesure de le faire, il se fait disqualifier. De même, si les deux participants faillissent à leur obligation, les deux sont disqualifiés et une nul technique est déclarée.
Nous parlons baucoup du volet compétitif du kickboxing, mais il ne faut pas oublier que le kickboxing peut très bien s’adapter à un entraînement de base pour conserver la forme. D’ailleurs les variantes du kickboxing léger sans contact telles que le cardio-kickboxing sont de plus en plus en vogue.
Pour de plus amples informations sur les cours de kickboxing, n’hésitez pas à nous contacter!
La lutte est un sport qui existe depuis des millénaires sous différentes variantes, dont la lutte olympique (aussi dite lutte libre) et la lutte gréco-romaine. Au même titre que le pugilat et l’athlétisme, elle date de plus de 3000 av. J-C, soit même avant l’ère Olympique datant de l’Antiquité où elle faisait l’objet de compétition en Grèce Antique. Cette dernière, aussi fort populaire au Japon, comme en Russie, est considérée comme dune tradition sportive de nombreux pays. Parmi tous les types de lutte, la lutte libre, aussi dite « catch wrestling », telle quelle est apparue au Jeux Olympique de 1904 est davatange un atout efficace en arts martiaux professionnels, ce pourquoi, c’est ce type de lutte qui est enseignée chez Team Bergeron.

Alors qu’en lutte gréco-romaine traditionnelle, les lutteurs ne peuvent utiliser que leurs bras et la partie supérieure de leur corps pour attaquer et ne peuvent que maintenir ces parties du corps de leur adversaire, la lutte libre est plus permissive et les athlètes sont autorisés à utiliser les bras, les jambes ainsi que le reste du corps et se saisir tant au-dessus qu’en-dessous de la ceinture. étant un système de combat à mains nues que les pugilistes pratiquent au corps à corps, l’objectif de la discipline consiste à faire tomber son adversaire au sol et lui maintenir les deux épaules au sol afin d’acquérir des points.

En lutte, les athlètes sont divisés selon leur poids en sept catégories chez les hommes et quatre chez les femmes afin d’assurer un certain équilibre dans les combats. Il n’y a pas de points octroyés en lutte pour la défense, mais seulement pour l’attaque. Il convient donc d’être l’agresseur afin de pouvoir remporter un combat de lutte. Tel que dit précédemment, un athlète accumule des points en plaquant les deux omoplates de son rival au tapis pendant deux secondes, ce qu’on appelle le « tombé ». Pour y arriver il faut toutefois faire preuve d’un certain dynamisme préparatoire pour l’attaque et la défense, dite la « garde ». Trois actions doivent fondamentalement se succéder pour arriver à effectuer un tombé. Il faut d’abors contrôler son adversaire, donc le saisir pour pouvoir agir sur ce dernier. Pour ce faire, différents types de contrôles sont enseignés. Pour amener l’adversaire au sol, on doit utiliser des techniques de mises au sol ou comme le jargon de la lutte le veut, les « formes de corps ». Il en existe plusieurs dont le décalage, le hanché, le passage dessous, l’arraché et la souplesse. Un fois son adversaire au sol, il faut maintenir son contrôle et finaliser le tombé en utilisant une technique d’immobilisation, appelée « finale ». On peut aussi marquer des points grâce à des mises en danger.

Pour être efficace en lutte libre, où la force, la vitesse et où l’application des techniques se fait presque scientifiquement, certains préceptes ont été établis et son enseignés. Il faut donc ainsi savoir utiliser le poids du corps à son avantage, placer ses appuis en opposition pour effectuer des contrepoids, utiliser la poussée des jambes, s’effacer-tirer et pousser-fixer. Tous ces préceptes sont utiles afin d’effectuer efficacement les divers mouvements de mise au sol dont les projections ainsi que les prises d’immobilisation pour terminer le tombé (croisillon, bras roulé, ceinturer, liane, décalage, ramassement etc.), à des fins de sécurité, plusieurs actions sont interdites et constituent des fautes, dont saisir la tête seule de son adversaire à deux mains, étrangler, faire des clés et fermer ses mains en croisant ses doigts.

Pour en savoir plus sur les cours de lutte, nous vous recommandons de contacter le Collège Team Bergeron qui saura répondre à toutes vos questions!